Ne riez jamais d'une femme qui tombe

 

 

Affiche : Ne riez jamais d'une femme qui tombe

 

« Les textes d’Henri Mitton sont un très délicat tremplin pour ce genre de saut périlleux. Ils obligent à bondir de l’orgueil à la perfidie, de l’insolence à l’humilité, de la feinte innocence à la stupidité provocante, de l’inquiétude souriante à l’assurance dérisoire. Les prétextes anecdotiques et leurs développements sensibles sont ciselés par un spirituel moraliste. » (Le Figaro« Une galerie de portraits d’une drôlerie féroce.» (Nouvel Observateur« Des textes comme l’éducation des filles ou, régal à déguster, la satire de l’immobilier, sont des modèles de choses vues et entendues. » (La Croix« Drôlement juste et féroce, ce réquisitoire » (Le Canard enchaîné« Humour fin, observation très juste, volonté astucieuse de critiquer la société contemporaine, ces silhouettes excessives, ces ridicules. » (Valeurs Actuelles)

 

 

 

 

Sylvie Joly : Ne riez jamais d'une femme qui tombe

                    « Moi, je trouve qu’à l’étranger, une française n’a pas le droit, ne peut pas se permettre d’être médiocre.                                     En tout cas, moi, je ne le pourrais pas.»

 

 

Henri Mitton et Sylvie Joly en mai 1976          Henri Mitton, Marika Hodjis et Sylvie Joly en mai 1976

                                             Henri Mitton et Sylvie Joly                                                                                                       Henri Mitton, Marika Hodjis et Sylvie Joly

 

 

Théâtre Gaîté-Montparnasse

Création à Paris,

le 7 mai 1976

 

Mise en scène :

Marika Hodjis

 

Interprète :

Sylvie Joly

 

Une partie des textes issus de ce spectacle :

(«Catherine», «Le Cantal», «La mère super-dépassée», «Je me gratte», «Il peut faire face ton pauvre papa ?» …) ont été édités chez Stock en 1979 et réédités en 1988 dans Le Livre de Poche : « Sylvie Joly. Absolument, absolument » (Grand Prix de l’humour noir), enregistrés à la Comédie des Champs Elysées en 1978 pour le disque « C’est l’angouâsse » (Prix de l’Académie Charles-Cros). Entrés dans le répertoire de Sylvie Joly, ils font partie de ses best off. 

 Sketch "Catherine" de Henri Mitton  interprété par Sylvie Joly.

Pour l'écouter, cliquez sur l'image

“Proust aurait fait son miel du snobisme de  Catherine…”

(Jacques Brinaire)

 

Deux Sketchs écrits par Henri Mitton joués par Sylvie Joly et repris par Catherine Hiegel et Michèle Laroque lors du spectacle en Hommage à Sylvie Joly au Théâtre de Paris le 26 octobre 2015 orchestré par Pierre Palmade :

 

Le sketch "Il peut faire face ton pauvre papa ? " a été interprété par Catherine Hiegel

Le sketch "Je me gratte" a été interprété par Michèle Laroque


 

« Ne riez jamais d’une femme qui tombe »

a été traduit en italien sous le titre :

 « Non c’è da ridere se una donna cade »

 


Affiche italienne : Ne riez jamais d'une femme qui tombe

                                 Adaptation par Franca Valeri

                    de « Ne riez jamais d’une femme qui tombe »

                                           de Henri Mitton

 

 

 

 

                           Franca Valeri

 

 

 

                 La premiere de "Non c'è da ridere se una donna cade" à Rome

La premiere de "Non c'è da ridere se una donna cade" à Rome

                                            la premiere de    La premiere de "Non c'è da ridere se una donna cade" à Rome


 

Teatro Piccolo Eliseo

 

Création à Rome,

le 13 novembre 1978

 

Metteur en scène :

Giulio Cottelacci

 

Interprète :

Franca Valeri

 

Franca Valeri


 

Dans le manuel scolaire allemand « Nouveaux Horizons» 

 

Etude de phénomènes de société d’après le texte :

« La mère super-dépassée » de Henri Mitton

 

Manuel scolaire "Nouveaux Horizons" : Decouvrir le francais pour les allemandsManuel scolaire "Nouveaux Horizons" : Decouvrir le francais pour les allemandsManuel scolaire "Nouveaux Horizons" : Decouvrir le francais pour les allemands

 

 

 


 

Dans la collection « Etonnants  Classiques » de Flammarion

Huit Femmes de Robert Thomas

 

On retrouve dans les textes additionnels, le sketch « Catherine » de Henri Mitton

qui met en scène des personnages de la bourgeoisie cosmopolite et mondaine.

 

Etonnants classiques huit femmes couverture

 

 

 

 

Etonnants classiques huit femmes page 149 copie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Etonnants classiques huit femmes page 162 copie

Etonnants classiques huit femmes page 163 copie

Etonnants classiques huit femmes page 164 copie

Etonnants classiques huit femmes page 165 copie

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