« …Avec une page blanche, tu te rends compte ! Tout est possible, n’importe quoi peut arriver, il est possible que nous restions enfermées, prisonnières, pauvres mouches engluées dans la page blanche, oubliées, abandonnées pour toujours… »
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« …Voila. Parfait. La débâcle se précise, tout rentre dans le désordre. »
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« … Cette ambiance atroce de théâtre de boulevard, au milieu de cette richesse étalée et provocante, ah non, ah non, ah non, moi je dis stop ! stop ! stop ! J’arrête. »
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